Le festival Eté Indien organise sa première édition du vendredi 4 septembre au dimanche 6 septembre 2015 à Pragniot Haut-Forez.
“Eté Indien lance sa première édition en vous proposant trois jours de concerts variés, des expositions de photographie, une marche dans la forêt suivie de lectures et concerts dans la chapelle des Anges, au cœur des bois du Forez.
Dans un cadre champêtre et reposant nous vous invitons dans le hameau de Pragniot pour un peu plus de deux journées de découvertes auditives, gustatives et visuelles.
Du Vendredi 4 au soir au Dimanche 6 dans l’après midi, les champs deviendront scènes, les charrettes canapés et le champ du voisin terrain de camping. Ballades en forêt, repos et dégustation de produits locaux rythmeront les journées.”
PROGRAMMATION
KCIDY / Roger West / Clara Clara / Satellite Jockey / House Of John Player / Gagoug / Le Groupe Obscur / Romain de Ferron / Stéréo Woat / Treasure Island / Don Glow / Les Halles x Magnétophonique / Benoît Toqué / Amandoné / Guess What / Annabelle Verhaeghe / Igor Myrtille
Sous le nouvel alias de Roger West, Amédée De Murcia (Somaticae, Insiden) passe au broyeur une poignée de tubes house des années 90 pour en faire une nouvelle matière, âpre, brûlante, orageuse, où les stabs de synthés se font plus perçants, les bleeps oppressants, et où les boucles se désintègrent, réduites en caillots infectieux.
Cela fait déjà quatre ans que Satellite Jockey nous réjouit avec sa curieuse pop mélangeant shoegaze, krautrock et trip hop. Avec « Falling », leur dernier album sorti sur le tout jeune label Montagne Sacrée en association avec AB Records, Another Records et Kidderminster, ils nous embarquent vers un nouvel orbite, fait de guitares, de réverb' et de synthé 90's frôlant parfois le new age. La pop allègre des premiers ... En savoir plus
Avec son accoutrement fantasque, Kcidy est un personnage intrigant. La chanteuse lyonnaise, également membre du groupe Satellite Jockey, officie dans une synth-pop mélodieuse et un trip-hop sensible, hauts en couleurs et en mystères. Inspirée par CocoRosie ou encore Animal Collective, la magnifique voix de Pauline nous rappelle celle de Florence Welch. Le charme opère.
Clara Clara représente l’essence d’une jeune scène active et concernée. Issue à la fois d’un vivier D.I.Y encré dans l’esthétique de ce qu’on se résout à appeler faute de mieux « post hardcore » et d’une nouvelle génération de groupes frais et intrépides qui balayent d’un coup de savate l’immobilisme et la sclérose d’une vielle garde engluée dans ses principes empruntés. Cette fraîcheur, Clara Clara la concentre dans des morceaux ... En savoir plus
« Les cinq âmes qui composent ce groupe sont l’unique peuplade d’une île imaginaire dont les mœurs troubles sont inscrites au frontispice de leur ténébreux royaume : « La caresse et le poignard ». Brodant dans la pénombre une Dream Pop tortueuse et pleine de surprises, Le Groupe Obscur est porté par une voix haut perché et se risquant, pour notre plus grand bonheur, à toutes les escalades chromatiques, une ... En savoir plus
Don Glow est une photographie mouvante en noir et blanc, une danse de lumières par l'obscure. Don Glow est un trio formé en décembre 2013. Les musiciens ont allié leur amour du garage sonique, du punk primal et du heavy sabbathien pour créer un nouvel Etre de Lumière. Le son découle ici de jams fiévreuses capturées dans l'instant. L'incandescence de Don Glow est invoquée par les mélodies et les rythmes, ... En savoir plus
Romain de Ferron est un musicien français qui offre à ses auditeurs une expérience quasi-mystique par l'association de sons continus, de contrepoints et de répétitions. Seul, il lui arrive d'improviser avec un harmonium indien et un mélange de voix et de synthétiseurs. Il est aussi membre des groupes Balladur et Insiden, et co-organisateur du festival Echos avec l'association Dôme.
"Gagoug, c’est un concentré d’énergie un peu do it yourself qui amène la musique à un niveau de fraîcheur encore rarement expérimenté, là où l’intellectualisme arrogant n’a pas sa place. On est dans un univers complètement absurde où le « Lolita » d’Alizée se chante avec un morceau de baguette tradition dans la bouche, où Joe Dassin passe en mode électro et oui, on ira où il voudra quand il voudra, tant ... En savoir plus