Après la morsure de Cobra, premier LP qui réinventait une french pop cousue-main, à l’étoffe princière et au phrasé gainsbourien, François Club remet le couvert (en argent) sur Nickel Chrome.
Gorgé de soleil froid et d’amour sans lendemain, Nickel Chrome redore le blason des sentiments ambivalents, où la mélancolie affleure derrière la nonchalance. Savamment ourlé de synthétiseurs soyeux et d’un chant suave, cette nouvelle collection printemps-été ne choisit jamais son camp : italo disco ou Haruomi Hosono, Sébastien Tellier ou Étienne Daho, Alain Chamfort ou Flavien Berger, Brancusi ou Hokusaï…
Gorgé de soleil froid et d’amour sans lendemain, Nickel Chrome redore le blason des sentiments ambivalents, où la mélancolie affleure derrière la nonchalance. Savamment ourlé de synthétiseurs soyeux et d’un chant suave, cette nouvelle collection printemps-été ne choisit jamais son camp : italo disco ou Haruomi Hosono, Sébastien Tellier ou Étienne Daho, Alain Chamfort ou Flavien Berger, Brancusi ou Hokusaï…