Description
« Sauce chien et la guitare au poireau » est un conte philosophique involontaire (il s’est joué de nous).
Voilà qui est ébouriffant madame ! C’est ce qu’il se passe lorsqu’on laisse parler son établi ! Et je n’ai même pas d’établi !
Il n’y a eu qu’à descendre et monter le seau dans un « puits plein de chansons ». Geste avéré plus joyeux qu’éreintant.
On part d’un ventre vers des galeries supérieures féminines, des guerres de bonshommes maladroits… On flotte – grâce à un passe-droit occulte du ‘je ne sais quoi – au dessus de la Matière. On se mange le nez, on veille sur les petits. Dans un même temps nos camps se montent et se démontent.
Sont englouties autant de bizarreries que de mets parfaits. L’on boit, et appareille en fumerolles. L’on vivotera cailloux.
On dirait que « Sauce chien… » est la vie cérébrale d’un individu blessé qui va trouver le ‘salut de la douceur d’un sein après avoir pleinement tout toléré.
Tais-toi oui ! – ANTOINE LOYER
Il n’y a eu qu’à descendre et monter le seau dans un « puits plein de chansons ». Geste avéré plus joyeux qu’éreintant.
On part d’un ventre vers des galeries supérieures féminines, des guerres de bonshommes maladroits… On flotte – grâce à un passe-droit occulte du ‘je ne sais quoi – au dessus de la Matière. On se mange le nez, on veille sur les petits. Dans un même temps nos camps se montent et se démontent.
Sont englouties autant de bizarreries que de mets parfaits. L’on boit, et appareille en fumerolles. L’on vivotera cailloux.
On dirait que « Sauce chien… » est la vie cérébrale d’un individu blessé qui va trouver le ‘salut de la douceur d’un sein après avoir pleinement tout toléré.
Tais-toi oui ! – ANTOINE LOYER
“Hors la métrique, hors la rime, Antoine Loyer bouleverse les formes, les structures, se passe le plus souvent des répétitions, se manifeste dans un patois à énigmes, recréé une ponctuation ordonnée d’étoiles, d’espaces, de croix, de tirets, parenthèses, apostrophes qui prennent valeur de mots et identité visuelle, il traduit de français à français.”
