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B I Z A R O P O P

Qui a dit que la pop devait être consensuelle ? Ces quatre artistes manient les mélodies avec beaucoup d’excentricité et un grand panache. C’est joli et étrange, c’est étrangement joli, et vice et versa.



Tess Roby - Beacon


Tess Roby, Beacon

Italians Do It Better

Il a suffi d’une écoute pour tomber sous le charme de la nouvelle recrue de Johnny Jewel (Chromatics & co). La jeune canadienne chante une synthé pop simplement magique, comme si elle était la petite fille de Nico période Desertshore, la cousine de Weyes Blood et la filleule de Laurie Anderson.



Donny Benét - The Don


Donny Benét, The Don

Dot Dash

Il est au disco-pop ce que The Dude est au White Russian et au peignoir porté du lever au coucher du soleil : une véritable icône rococo. Ce beautiful loser plein de panache, fier porteur d’une moustache qui n’a rien à envier à Tom Selleck, prône la décomplexion flamboyante comme personne.



Infinite Bisous - w/ Love


Infinite Bisous, W/ Love

Tasty Morsels

On l’avait déjà croisé à la six cordes avec Mac DeMarco, Beck mais surtout Connan Mockasin, dont il partage le goût pour les guitares aquatiques, Rory McCarthy édite enfin son premier album en vinyle. Rythmiques gluantes et mélodies suaves pour amateurs de musique caressante.



Serpentwithfeet - Soil


Serpentwithfeet, Soil

Secretly Canadian

Au delà du look Raël-queer-fan-de-Björk, Serpentwithfeet, c’est surtout un timbre de voix à faire frissonner les pierres, sur des instrus langoureuses et torturées. Sa soul pleine d’expérimentations soniques avance avec fragilité sur une corde sensible, sur la pointe des pieds, comme une ballerine.


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