Description
18/11/2022
Ne vous laissez pas tromper par sa pres0gieuse carrière d’acteur, Caleb Landry Jones est un véritable marginal de la musique. Avec son troisième album Gadzooks Vol. 2, il s’inscrit dans une lignée d’ar0stes atypiques, dont beaucoup ne sont a>achés à la réalité que par un fil ténu, et qui sont capables d’a>eindre les royaumes cosmiques de l’imagina0on pour en ramener un chef-d’œuvre musical. L’album a été enregistré avec Nic Jodoin dans les célèbres Valen0ne Recording Studios en même temps que le mixage de son premier album The Mother Stone. L’équipe a invité une pléiade de musiciens de renom à venir contribuer à la magie. L’album qui en résulte sonne un peu comme des éléphants roses en chapeau de cow-boy qui font du ASMR… du moins pendant les 20 premières secondes avant de changer du tout au tout. L’un des plus grands dons musicaux de Caleb est sa capacité à couvrir un vaste paysage énergé0que et sonore, avec un large éventail d’instrumenta0ons et de styles vocaux sur une structure de chansons tout à fait unique, d’une manière qui semble cohérente et euphorique. Et si tous ses disques ont une qualité exta0que, Gadzooks Vol 2. est peut-être sa collec0on la plus apaisante et sublime à ce jour. Chaque chanson con0ent au moins une douzaine d’accroches mélodiques, toutes si sa0sfaisantes que l’on ressent une profonde nostalgie lorsqu’elles s’estompent, jusqu’à ce que l’on se rende compte qu’elles sont en train d’être incorporées dans un autre morceau plein de groove.