Description
- Edition limitée – l’album « Discovery » réédité pour la première fois en version originale japonaise.
- Couverture par Leiji Mastumoto (Interstella 5555).
- Inclus la carte du Daft Club devenue un véritable objet collector lors de sa sortie, la planche de stickers originale.
MAIS
‘communiqué Balades Sonores du 14 décembre 2024’
❌ DAFT FAIL ❌
Daft Punk. Discovery – Interstella 5555:
en précommander 250, en vendre 189, pour n’en recevoir que 19.C’est une histoire tristement plus DAFT que PUNK.
C’est une histoire tristement plus DISSIMULY que DISCOVERY.
C’est une histoire tristement plus INTERSIDERALE que INTERSTELLA.
C’est une histoire tristement plus à 5 qu’à 5555.⏪ Pourtant, tout était en place pour que cette réédition tant attendue soit un succès:
✨ 20 000 copies pour le monde dont 5000 pour la France
189 copies précommandées sur notre site pour 250 réservées auprès du distributeur.⏯ MAIS
15 (officiellement) + 4 (récupérées par voie détournée) copies livrées.
( Il semblerait que 3 ou 4 centaines de copies ont été allouées pour les disquaires indépendants… avec MAXIMUM 15 copies par enseigne… donc on vous laisse deviner où est parti le reste.)
Un abysse intersidéral de frustration et de déception.
Et une pluie de comètes d’excuses confuses auprès de nos client.e.s à envoyer ce matin…⏩ DONC
Un DAFT CASE cas d’école extrême d’une exception qui se fait la règle.
Une mascarade à laquelle nous ne voulons plus être associé.e.s et que nous nous voulons plus vous faire subir
Nous allons prendre des mesures en interne pour 2025 pour encore plus assumer/valoriser notre artisanat et assainir ce ‘game’ truqué, car nous ne baissons pas les bras face à tous ces dés pipés !
* les précommandes lancées sur notre site ne seront débitées qu’au moment de la livraison/confirmation.
* toute référence à ‘risque’ ne sera proposée qu’en réservation
* nous n’hésiterons pas à dire STOP à certains labels et distributeurs ‘coquins’
* nous boycotterons de plus en plus les disques trop chers et trop ‘blagues’Une aberration vinylique de plus.
Quand le ‘système’ est définitivement québlo.
Quand cette ‘industrie’ du disque marche vraiment sur la tête.
Sans trop s’épancher, sans trop se victimiser, sans trop enfoncer toutes ces portes déjà grandes ouvertes… ça reste important pour nous de le rappeler haut et fort:
le GAME du vinyle a de nouveau changé post-Covid, et pas en bien,
avec une énième redistribution des cartes et un re-re-retournement de vestes…
et c’est pas en faveur de vos disquaires indé, ces soldats éssouflés bien que motivés.La liste des déconvenues et des coups foireux est de plus en plus longue,
et ça ne cesse d’enrayer notre volonté de continuer à défendre la musique physiquement avec partage et simplicité:
de l’augmentation des prix à la complexification des rapports entre distributeurs/disquaires,
en passant par la récupération d’une passion vinylique par ls grandes enseignes ou encore le leurre de certains ‘consommateurs’ qui n’y voient qu’une occasion de se faire de l’argent en spéculant sur la rareté….
À tout ça se rajoute des réalités/vérités financières, conjoncturelles et structurelles qui dépassent ‘le disque’ et qui abîme de trop près le petit vaisseau Balades Sonores (l’immobilier, le bancaire, le juridique…).Non, Balades Sonores ne lâche rien pour autant. Le combat est quotidien. Et nous allons nous accrocher pour que le vinyle reste amour, partage et passion. Avec vous.