Description
Fin octobre 2022
L’INIMITABLE VOIX CALIFORNIENNE PRÉSENTE UN
NOUVEAU CHEF-D’OEUVRE DE POP ORCHESTRALE
Après l’éblouissant et très acclamé Titanic Rising (2019), Natalie Mering aka Weyes
Blood annonce enfin son nouvel album, le second volet d’une trilogie ini@é par le
précédent, And In The Darkness, Hearts Aglow. Là ou Titanic Rising était une
observa@on du Monde courant à sa perte, ce nouvel album traite du fait d’être dans
l’oeil de ce cyclone : une quête d’une trappe de sor@e pour s’affranchir des
algorithmes et des théories du chaos (spoiler : le prochain parlera d’espoir). Le
premier extrait, “It’s Not Just Me, It’s Everybody”, traite de l’interconnec@vité entre
les humains mais aussi de l’é@olement de la société autour de nous. Transcendante
et parfois mélancolique, la folk-pop de Weyes Blood explore tout ce qui nous anime,
nous divise et nous détruit. Cela semble lourd, mais Natalie est guide. Bien
qu’accablée par le doute, elle est portée par l’espoir – sa musique se déployant avec
une nuance et une facilité étonnantes. « Bob Seger rencontre Enya », c’est ainsi
qu’elle a décrit son travail. Lorsque vous étudiez l’étendue surnaturelle de Weyes
Blood et ses mélodies chargées de crochets, vous réalisez qu’elle n’exagère pas.
L’album phare de Weyes Blood sur Sub Pop, Titanic Rising (nommé comme l’un des
meilleurs de 2019 par Pitchfork, NPR, The Guardian), était une observa@on de
malheur à venir. Dans And in the Darkness, Hearts Aglow nous la retrouvons au
cœur de l’ac@on, à la recherche d’une issue de secours, loin des algorithmes et du
chaos idéologique. Après cinq albums et des années de tournées, Natalie a beaucoup
de choses en tête. Elle a grandi en chantant dans des chœurs de gospel et de
madrigaux, avant de prendre prodigieusement la guitare à l’âge de 8 ans. Cela – mêlé
à son amour du jazz, du cinéaste Alejandro Jodorowsky et de l’érudit Joseph
Campbell – a façonné sa musique, qui raconte des histoires à la fois anciennes et
modernes, des mythes. Pourquoi nous demandons-nous ? Parce que, dit-elle, « les
mythes partagés font par;e de notre psychologie et de notre survie ». And In The
Darkness, Hearts Aglow est une sublime collec@on de 10 @tres coproduits encore
une fois par Jonathan Rado (à l’excep@on de “A Given Thing” produit avec Rodaidh
McDonald) avec quelques invités : Meg Duffy, Daniel LopaIn aka Oneohtric Point
Never, et Mary LaLmore